Du latin « liber » signifiant « écorce d’arbre », qui a ensuite donné le terme « livre » car, autrefois, on écrivait sur la pellicule située entre l’écorce et le bois. Désigne la partie interne, vivante de l’écorce, qui constitue un des éléments du système vasculaire des végétaux. Ces vaisseaux (dénommés « tubes criblés ») assurent la conduction de la sève élaborée, porteuse des matières organiques synthétisées au niveau des organes chlorophylliens depuis les feuilles jusqu’aux racines. Le liber est séparé du bois par le cambium.