Orifice de respiration de la feuille. De taille microscopique, ceux-ci se situent dans l’épiderme de la face inférieure des feuilles. C’est par leur action que s’effectue le rejet dans l’atmosphère de l(eau contenue dans la sève brute. Leur nombre et leur activité sont considérables et essentiels à la vie de l’arbre. Par exemple, un chêne peut diffuser au cours de sa période de végétation plus de 200 fois son propre poids en vapeur d’eau.